Dans le quotidien « Libération » du 1er novembre 2016, Nicolas Arpagian analyse le renforcement d’une « cyberguerre froide » entre Washington et Moscou. Sur fonds de révélations visant à déstabiliser la candidate démocrate à l’élection présidentielle étatsunienne, Hillary Clinton. L’arme numérique est plus que jamais au cœur des actions offensives de la géopolitique moderne.